Marche du 18 juin 2011 — Synthèse Présentation


Marche du 18 juin 2011 pour le français et la Francophonie

 

Initiative de 27associations (21 françaises et 6 étrangères francophones) pour le français et la Francophonie

 

Rassemblement, puis marche le samedi 18 juin 2011 de 14h30 à 17h, pour :

-         dénoncer les effets du mondialisme financier sur la santé des nations et sur la diversité linguistique et culturelle du monde ;

-         crier leur attachement au français, aux cultures francophones, et leur rejet de l’imposition de l’anglo-américain par l’Ecole et les media ;

-         demander au gouvernement français l’organisation d’états généraux de la langue française et de la Francophonie.

 

Les associations souhaitent ainsi attirer l’attention des médias et des dirigeants de France et des pays francophones :

-          par l’union, sur un enjeu vital, de parlementaires, de responsables syndicaux et associatifs, académiciens et hautes personnalités en tête d’un cortège composé, lui, indistinctement de citoyens appartenant à tous partis et mouvements attachés à la langue française ;

-          sur un seul thème politique : refus de la vassalisation des pays francophones par le biais d’une langue étrangère, et affirmation du droit au français dans les grandes entreprises ainsi que dans l’enseignement en France et au Québec ;

-          par l’ampleur d’une manifestation digne, le nombre des participants (1500 à 2500 attendus) et la diversité de leurs appartenances.

 

Elles ont précisé à tous les partis et mouvements français participants qu’ils ne pourront s’identifier en tant que tels, ni afficher leurs couleurs propres. Seuls drapeaux autorisés pour les Français : le tricolore et le drapeau de la Francophonie.

Des représentants de régions ou « provinces » étrangères de langue maternelle française participeront à la marche (20 à 30 annoncés). Ils s’identifieront en groupes derrière leurs drapeaux nationaux, et porteront leurs banderoles et pancartes propres, sur le thème commun de la langue française et de la Francophonie. Des particuliers francophones francophiles africains, maghrébins, libanais, haïtiens, etc. ont été invités (moins de 20 attendus).

Un service d’ordre de la manifestation sera assuré par le Mouvement démocrate français (M. Henri FOUQUEREAU)

 

Déroulement de la marche dans le Quartier latin.

14h30 : Rassemblement sur la Place du Panthéon. Allocutions brèves de députés français et de membres de l’Académie française.

15h30 : Formation en cortège. Au premier rang, derrière la banderole : « Citoyens : tous pour la Langue de la République », des personnalités bien connues des médias et du grand public et des élus de la Nation de bords très divers, ceints de leurs écharpes tricolores.

15h40 : Départ du cortège avec drapeaux, banderoles et pancartes, et véhicule de sonorisation, par la rue Soufflot, le Bd Saint-Michel et la rue des Ecoles, en direction des Universités Paris7 et Paris6 Pierre et Marie Curie, rue Jussieu., pour qu’une délégation d’une vingtaine de personnes y dépose une lettre, avant de rejoindre le gros du cortège, qui se dispersera vers 16h45 devant le Jardin des Plantes.

15h45 : une délégation (20 personnes) se détache du cortège, rue Soufflot, et va, rue Victor Cousin, déposer une lettre au siège de l’Université Paris1 Sorbonne ? Elle rejoint ensuite directement le gros du cortège, par la Place ou par la rue de la Sorbonne. 

16h : pendant que le gros du cortège entre dans la rue des Ecoles, une délégation de 5 personnes s’en détache et, par les rues Ecole de Médecine, Saint Sulpice, Vieux Colombier, Grenelle, va déposer des lettres rue St Guillaume à l’Institut des Sciences Politiques, puis au 110, rue de Grenelle, à l’intention du Ministre de l’Education Nationale. Cette délégation de 5 personnes se disperse ensuite.

16h20 : le cortège dépassant la rue des Carmes, une délégation forte d’une cinquantaine de personnes, avec des pancartes, mais sans sonorisation, s’en détache pour aller, par les rues Montagne Ste Geneviève puis Descartes, au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, pour y déposer une lettre à l’intention du Ministre.