Communiqué de presse

Coordination Défense de Versailles

du 11 juin 2011

LA NOUVELLE TRAITE : « Echanger la pacotille de l’art new-yorkais contre les grands maîtres du classique »

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A VERSAILLES : FERRAILLE, FRIC, FRIME, S’AFFICHENT, A L’ECOLE DE L’ART DU PARASITISME DE LA NOUVELLE TRAITE CULTUELLE « ATLANTISTE » !

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LA LOI DE DUCHAMP, père de l’Art NEW-YORKAIS : « Je voudrais faire du parasitisme un des Beaux-arts »  

L’IDEAL D’ANDY WARHOLD, PERE DU POP’ART : « Le summum de l’art, c’est le fric. »   

LA TURPITUDE DE MARTIAL RAYSSE : «  La beauté, c’est le mauvais goût »

PRINCIPE COLONIAL

Dans son principe de base, d’échange du bien le moins précieux (la pacotille), contre le bien le plus précieux (l’homme), le néocolonialisme culturel d’art new-yorkais n’a rien à envier au nauséeux art de la traite « atlantique » du « bois d’ébène » dans lequel l’Angleterre excellait.

C’est ce principe glauque qui a été hautement proclamé par les idoles de l’art new-yorkais et par ses galeristes spéculatifs ; c’est l’application de ce principe de spoliation des vraies valeurs patrimoniales par l’entremise des fausses qui s’affiche aujourd’hui avec arrogance à Versailles.

VENET NOUS VEND LA FERRAILLE DE PACoTILLE  « CONTEMPORAINE »  …  

Ce que personne ne verrait dans un chantier, ce que personne ne regarde à Versailles, et ce que personne ne verrait sans l’insupportable harcèlement médiatique de « ceux qui payent la musique ».

 

Venet sE paie un grand  CLASSIQUE    ( 180 000 € )

C’est la BENTLEY de Bernar(d) VENET, garée ostensiblement le 1er juin 2011 ( en stationnement interdit ) pour parader devant la statue de Louis XIV, objet de sa dérision ciblée ( sa ferraille rouille, tordue et géante, brisant l’harmonie des lignes, transforme Louis XIV en nain comme Jeff Koons 1er, mis sur son trône, l’avait transformé en roi des voleurs dans le salon d’Apollon )

 

LA PART DU CONTRIBUABLE ( 300.000 € avoués ), une paille pour aillagon

Selon l’AFP du 25.01.2011, les seules fourches caudines de la place d’armes coûtent 2,5 millions €, pris en charge par les « sponsors » du new-yorkais, selon M. Aillagon disant étourdiment : «  … afin que l’on ne puisse pas dire que nous avons soustrait de l’argent qui aurait pu entretenir le patrimoine… », pour Versailles [ c'est-à-dire le contribuable ] « le coût résiduel est de 200 000 à 300 000 euros », précise-t-il ! Encore une fois, on peut poser la question : à qui profite l’opération ?

TEL EST LE SYMBOLE DE LA CRISE FINANCIERE A « BULLE » : DE CE NEOVANDALISME SPECULATIF RUINANT LE MONDE, SOUS LES FOURCHES CAUDINES DUQUEL L’ETAT VEUT NOUS FAIRE PASSER POUR VISITER LE SYMBOLE DE L’EXCELLENCE DE LA FRANCE.

 

Arnaud Upinsky, Président de l’UNIEF/Coordination Défense de Versailles

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